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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:38

 

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:33

 

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:26

 

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:21

 

 

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 19:18

 

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19 novembre 2017 7 19 /11 /novembre /2017 21:22

Il ne fait plus aucun doute que la littérature maghrébine d'expression française est en pleine effervescence. De plus en plus d'écrivains, hommes et femmes, de toutes générations confondues prennent la parole pour réaliser des écrits qui embrassent une diversité thématique et qui occupent une place considérable au sein du fait littéraire francophone du Sud. Par sa richesse culturelle, le Maghreb m'a toujours fasciné. Au cours de mes recherches, j'ai eu le plaisir de lire plusieurs oeuvres, de contribuer à des ouvrages collectifs et aussi de participer à des colloques internationaux. C'est à ce titre que j'ai choisi de rassembler mes articles et mes communications dans un ouvrage intitulé Le devenir littéraire maghrébin. J'ai choisi d'axer mes analyses sur les auteurs suivants : Assia Djebar, Rachid Boudjedra, Yassir Benmiloud, Kamal Daoud, Rénia Aouadène, Karim Nasseri, Youcef M.D, Fouad Laroui, Chedly El Okby. En sélectionnant ces écrivains, j'ai voulu démontrer comment se construisent les pensées lorsque la langue que nous utilisons est considérée comme étrangère.

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17 septembre 2017 7 17 /09 /septembre /2017 18:54

 

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25 juillet 2017 2 25 /07 /juillet /2017 06:44

Silence ! Aokas se réveille !
Samedi à Aokas s’est jouée une pièce de théâtre où les bouffons du Roi ont utilisé la matraque afin d’agresser les amoureux de la littérature et détruire un lieu , le Centre culturel Rahmani Slimane devenu un symbole de partage du Savoir au fil des années et des nombreuses rencontres programmées avec peu de moyens (et j’insiste) mais une volonté indéfectible et inébranlable de permettre que se développent et se partagent les objets de recherche et d’études transmises par chacun des intervenants
J’ai fait plusieurs conférences avec nos amis d’Aokas car c’est ma région d’origine et surtout j’y ai trouvé un public avide de Savoir et une dynamique propre aux rencontres littéraires dignes de ce nom où on ne se congratule pas , persuadés qu’on est une élite ( et c’est ma réponse à certains détracteurs sur les réseaux).
Rendre hommage à des écrivains, des intellectuels ayant participé à la construction culturelle de ce pays -serait-il un délit ?
Présenter ses publications et vouloir amener un public à la lecture et à la découverte d’œuvres qui ne bénéficient pas de publicité ou de distribution- est-ce un délit ?
Mettre en lumière des hommes et des femmes qui font partie de l’histoire de ce pays – est-ce un délit ?
Faire des recherches mettant en exergue les cultures dont sont issues notre peuple – est-ce un délit ?
N’est-ce pas là, le rôle des animateurs culturels de la société civile dans un pays qui se voudrait fier et libre de former sa jeunesse et de l’extraire de l’obscurantisme dominant qui sévit un peu partout, ici ou ailleurs et qui se rapproche à pas de géants dans nos contrées ?
Aokas et ses habitants ont osé ! Ils ont franchi le pas, celui de manifester dans la rue et hurler qu’il est temps de libérer la parole et de poser les véritables problèmes qui touchent la société algérienne et en particulier la Kabylie. Mais n’est-ce pas en fait ce « déni d’identité », ce rejet de la culture amazighe qui provoque tant de ire dans les hauteurs d’Alger ?
N’est-ce pas en fait Aokas et les intellectuels dont elle a accouchés ou qu’elle reçoit qui attisent autant le feu sur le brasier de l’ignorance ?
Non ce ne sont pas seulement nos convictions ou supposées alliances politiques qui dérangent les chiens de garde sinon le débat que provoquent nos écrits parce qu’ils appellent à la réflexion, à l’analyse ou à la prise de conscience que les lieux de transmissions du savoir sont devenus au fil des années des distributeurs de diplômes dont la valeur devient discutables car de moins en moins reconnus.
Dans un état de droit, respectueux de sa jeunesse il serait inadmissible d’interdire à des auteurs de s’exprimer dans une dynamique de construction collective. Dans un état de droit, on ne jetterait pas l’anathème en ciblant des individus car menaçant un supposé équilibre retrouvé après des années noires ?
Aokas perturbe, dérange, empêche les technocrates ou autocrates de dormir ! Et pourtant en utilisant une telle violence, Aokas unit, rassemble et devient une ville vers qui tous les regards sont dirigés !
Pensez-vous que le désir, la volonté de Savoir puisse être effacée d’un coup de matraque ? Certains l’ont tenté et cru, ils ont fini aux oubliettes ! D’autres encore, il y a longtemps ont tenté d’asservir, c’était sans compter sur la disparition de la peur qui n’est que la conséquence d’un trop plein de colère et de révolte.
Aokas se soulève … ouvrez les yeux !
Rénia Aouadène – enseignante et écrivaine

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18 mai 2017 4 18 /05 /mai /2017 17:28

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9 avril 2017 7 09 /04 /avril /2017 17:45

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